samedi, février 17, 2007

Les Revues de Presse en Seconde

Thème : Les Revues de Presse en Seconde.

Que reste-t-il des revues de presse ?

Quelques exemples lus dans les derniers devoirs.

Emilien : "En France, il y a 7 millions de salariés qui sont pauvres. Ils gagnent moins de 667 € par mois, ce sont des travailleurs pauvres. Cela peut avoir de grosses conséquences sociales sur la personne tel que le repli sur elle-même, le renfermement, avec peu d'argent elle aura une vie difficile et peu de loisirs... Sa pauvreté fait de la personne quelqu'un qui consomme peu. Si 7 millions de personnes gagnent peu, c'est 7 millions de personnes qui consomment peu donc l'économie est touchée".



Célia : "Les enfants de Don Quichotte ont fait des SDF un sujet d'actualité. Les SDF ne sont pas forcément au chômage, il y en a qui travaillent mais le coût de l'immobilier est bien trop élevé et leurs revenus bien trop faibles pour qu'ils puissent se loger. il faudrait les loger dans des logements sociaux. Ils ne peuvent s'intégrer socialement alors qu'ils travaillent."


Floriane : "Le travail à temps partiel est un phénomène économique et social. En effet les personnes qui travaillent à temps partiel ont tout d'abord un salaire insuffisant (souvent inférieur au SMIC, le salaire minimum) ce qui peut provoquer une pauvreté des travailleurs à court terme mais ils auront aussi des cotisations retraite insuffisantes et donc des petites retraites".


Bastien : "A l'approche des présidentielles, tous les hommes politiques se félicitent de la baisse du chômage qui atteint moins de 9 % des actifs en France aujourd'hui. Mais les derniers chiffres concernant le chômage n'ont pas été publiés par l'INSEE. Certains pensent que la baisse est moindre que ce qu'on dit. De toute façon, tous les actifs qui recherchent un emploi ne sont pas comptabilisés par le taux de chômage et avoir un emploi ne veut pas forcément dire que tout va bien. Les emplois créés sont souvent précaires, ils produisent des travailleurs pauvres".


Justin : "En France il y a peu de salariés syndiqués, seulement 8% des salariés le sont. C'est le plus bas taux de syndicalisation d'Europe. Mais contrairement à d'autres pays, la syndicalisation n'est pas automatique en France, mais doit être volontaire. Contrairement à ce qu'on pourrait croire les employeurs sont favorables à la syndicalisation des travailleurs. En effet, ils ont besoin de représentants des salariés pour les différentes négociations. Il faut quelqu'un en face des patrons pour les différentes négociations. Une solution serait envisageable : l'adhésion automatique à un syndicat. Mais est-ce vraiment une bonne idée ?"

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